Le décès presque en symbiose de mes deux grands parents maternels et leur enterrement commun ce mercredi 11 Novembre en Isère me rappelle à ce constat.
On croit être habitué au deuil lorsque l'on a perdu à 23 ans tragiquement et subitement un frère ainé seulement âgé de 28 ans, puis son père aussi subitement, 11 ans plus tard.
On imagine à peine le jour de la mort de ses grands parents affectifs et pourtant on l'intègre d'avantage, puisque ceux ci sont plus anciens et donc censés être plus fragiles et nous quitter "naturellement"...
Mais la nature ne fait-elle pas bizarrement les choses parfois ?
...Voilà, ils sont partis... ensemble.
...Est-ce un poids nouveau à porter, ou un nouveau vide à combler dans sa mémoire?
Telle est la question lancinante du deuil.
Geraldine et Robert sincèrement affectés par la cruelle épreuve qui vous frappe, vous présentent leurs condoléances attristées.
RépondreSupprimerMerci, c'est gentil.
RépondreSupprimer...Le pire, c'est que l'hécatombe n'a fait que commencer... Nous avons encore eu deux enterrements depuis. La grand mère paternelle d'Anne Marie il y a une semaine, et le frère de sa mère ce Jeudi.
Fin d'année dur dur...
très touchant man
RépondreSupprimerle cergne...