Il y a déjà quelques temps que je souhaitais rendre hommage à ce mangaka (auteur de manga) suite à la lecture de sa très originale série : "Number five", j'ai nommé : Taiyou Matsumoto.
J'ai récemment pu visionner le film tiré de l'un de ses précédents manga: "Amer beton". Celui-ci, datant de 1994 et traduit en France dés 1996 n'a pas connu le succès escompté, mais a néanmoins acquis dés le départ un statut d'oeuvre culte.
C'est pourquoi la sortie en 2007* de ce film permettait de rattraper cette sorte d'injustice.
(* DVD chez GCTHV, sortit en Février 2008.)
Depuis, (en Avril) Tonkam a proposé une intégrale cartonnée des trois volumes, avec un renfort de communication salvateur.
Qu'en dire ?
Ce film est effectivement un chef d'oeuvre et constitue pour moi un des meilleurs films et un des plus beau film d'animation que j'ai eu l'occasion de voir. (...)
Comme un dossier complet très bien fait est déjà en ligne sur l'excellent site Akata, je vous y renvoie, par facilité, et par humilité, n'ayant pas beaucoup de choses à ajouter.
J'ai récemment pu visionner le film tiré de l'un de ses précédents manga: "Amer beton". Celui-ci, datant de 1994 et traduit en France dés 1996 n'a pas connu le succès escompté, mais a néanmoins acquis dés le départ un statut d'oeuvre culte.
C'est pourquoi la sortie en 2007* de ce film permettait de rattraper cette sorte d'injustice.
(* DVD chez GCTHV, sortit en Février 2008.)
Depuis, (en Avril) Tonkam a proposé une intégrale cartonnée des trois volumes, avec un renfort de communication salvateur.
Qu'en dire ?
Ce film est effectivement un chef d'oeuvre et constitue pour moi un des meilleurs films et un des plus beau film d'animation que j'ai eu l'occasion de voir. (...)
Comme un dossier complet très bien fait est déjà en ligne sur l'excellent site Akata, je vous y renvoie, par facilité, et par humilité, n'ayant pas beaucoup de choses à ajouter.
Mis à part qu'on a rarement vu traité avec autant de réalisme et d'à propos la psychologie (la psychose ?) enfantine dans un film d'animation.
Constater comment un jeune enfant orphelin peut-être à la fois innocent et réactif face aux drames ne laisse pas indifférent. Le film rappellera d'ailleurs à ce sujet certaines scène d'un autre manga évoquant l'enfance volée : le GEN d'Hiroshima de Nakasawa. (cf. précédente note.)
Lire le dossier d'Amer beton sur le site Ataka ici.
Quand à Number five, je me fends d'une chronique dés que possible.
Lire le dossier d'Amer beton sur le site Ataka ici.
Quand à Number five, je me fends d'une chronique dés que possible.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire