Pour faire suite à ma note concernant l'adaptation de deux cases d'albums de Blueberry et Lucky Luke dans un n° spécial Lucky Luke de Pilote de déc. 1971 (voir note originale sur 1caseenmoins) voilà justement la réponse de Morris sur "la Mine de l'Allemand perdu" dans le même n°.
(Originale par Giraud, Janvier 1972 en album, mais prépublié dans Pilote).Celle-ci correspond à la planche 18 de l'album de Giraud, si vous souhaitez comparer.
Elle est moins intéressante à mon goût que celle de Giraud pour "Le Pied tendre" de Morris, mais rigolote neamoins.
>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>> "L'Intuition m'a amené ici" (John Lennon) >>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>Narration graphique, cinéma, musique, la vie, et ce genre de choses...
mardi 30 décembre 2008
vendredi 19 décembre 2008
Le ton METAL !
Pour les nostalgiques, les vrais amateurs, ou tout ceux que la lecture d'un METAL HURLANT (d'époque) met en transe, un petit échantillon de publicités comme on en fait (presque) plus.
(Oh, ...mis à part peut-être Ferraille et les Requins marteau aujourd'hui ?...)
Mais le truc de Metal c'est que le tirage et la diffusion en kiosque ne passait pas inaperçu. Et il y avait en plus les émissions "L'impeccable", "Sex machine", plus la revue Rock'n folk qui relayaient.
(Oh, ...mis à part peut-être Ferraille et les Requins marteau aujourd'hui ?...)
Mais le truc de Metal c'est que le tirage et la diffusion en kiosque ne passait pas inaperçu. Et il y avait en plus les émissions "L'impeccable", "Sex machine", plus la revue Rock'n folk qui relayaient.
Dégustation...
(Toutes tirées de Metal de 1982 : n° 78 à 91)
D'autres publicités Metal sur :
BernieWrightson.fr
(Toutes tirées de Metal de 1982 : n° 78 à 91)
D'autres publicités Metal sur :
BernieWrightson.fr
mercredi 17 décembre 2008
Shangols : comme au cinéma !
La toile est comme ça : elle ne vous prévient pas.
Vous surfez pour retrouver quelques infos sur un film que vous avez aimé, et sur lequel vous souhaiteriez écrire un mot... ("L'espion qui venait du froid", avec Richard Burton, 1965), et puis "PAF !", vous tombez sur un blog qui justement, en parle comme vous l'auriez imaginé.Et ce blog, poste comme ça des tas de chroniques sur des films d'auteurs, vieux ou moins vieux, noir ou en couleurs,mais toujours intéressant ou troublants.
Bref, le genre de blog qui fait beaucoup de bien.
...C'est sur Shangols, et je vous invite à le visiter.
Blog de la semaine, haut la main.
dimanche 14 décembre 2008
Robert Bressy : hommage à un grand oublié.
J'ai connu Robert Bressy, je dois l'avouer, grâce au festival de Science fiction de Roanne.
En 2001 il était parmi les nombreux invités de ce festival renommé (à quand le prochain à Roanne ?), et il dédicaçait l'édition brochée Pressibus des bandes des "Navigateurs de l'infini" (Très beau Roman de Rosny Aîné, dont cette adaptation a parue dans l'Humanité entre 1974 et 1975). (Voir commentaires.) Bande de science-fiction très proche des Pionniers de l'espérance de Poivet, si l'on devait émettre un rapprochement stylistique.
Nous avons discuté agréablement pendant un moment, car Mr Bressy est un vieil homme très gentil (il est né en 1924). Et, après m'avoir dessiné une belle extraterrestre avec son enfant sur un de mes exemplaires, il m'a montré quelques dessins.
Comme j'étais ravi de la plupart, il m'en fait choisir un.
Et même si cette superbe scène de Fu manchu n'est pas un original (mais un inédit ? en simple photocopie de qualité), le geste était beau, et le fait qu'il ai accepté de me le resigné par dessus, encore plus.
(...) Je n'ai quasiment jamais ré entendu parler de lui depuis, et même si à l'époque, avec Onabok éditions, l'idée d'éditer un jour des bandes de ce grand monsieur a germé chez deux d'entre nous (Robert Bressy a été mal servi à l'époque et il n'existe presque pas d'éditions en albums de son "oeuvre")... ceci n'est resté qu'un voeu pieux.
Je garde néanmoins de ce moment un très émouvant souvenir... et ce dessin encadré occupe une place de choix dans ma montée d'escalier, auprès de sérigraphies de Vance, Jacobs et Chaland et Benoît. ...Vraiment dommage que des inédits dorment dans les archives de vieux journaux...
(...) Récemment, en re-feuilletant des "Journal de Mickey" des années 80, je suis tombé sur cette peinture illustrant l'article de Didier Roland pour le match Argentine France de 1978. ...Etonnant, non ?
Pas vraiment lorsque l'on sait que Mr Bressy a beaucoup travaillé pour la presse et pour Mickey en particulier dans ces années là.
... Ah, sacré Platini, và !
A lire : les pages qui lui sont consacrées sur Pressibus.
Et à propos de son album Fu Manchu : sur le site Damned productions.
En 2001 il était parmi les nombreux invités de ce festival renommé (à quand le prochain à Roanne ?), et il dédicaçait l'édition brochée Pressibus des bandes des "Navigateurs de l'infini" (Très beau Roman de Rosny Aîné, dont cette adaptation a parue dans l'Humanité entre 1974 et 1975). (Voir commentaires.) Bande de science-fiction très proche des Pionniers de l'espérance de Poivet, si l'on devait émettre un rapprochement stylistique.
Nous avons discuté agréablement pendant un moment, car Mr Bressy est un vieil homme très gentil (il est né en 1924). Et, après m'avoir dessiné une belle extraterrestre avec son enfant sur un de mes exemplaires, il m'a montré quelques dessins.
Comme j'étais ravi de la plupart, il m'en fait choisir un.
Copie A4 de l'auteur, dédicacée lors du festival |
(...) Je n'ai quasiment jamais ré entendu parler de lui depuis, et même si à l'époque, avec Onabok éditions, l'idée d'éditer un jour des bandes de ce grand monsieur a germé chez deux d'entre nous (Robert Bressy a été mal servi à l'époque et il n'existe presque pas d'éditions en albums de son "oeuvre")... ceci n'est resté qu'un voeu pieux.
Je garde néanmoins de ce moment un très émouvant souvenir... et ce dessin encadré occupe une place de choix dans ma montée d'escalier, auprès de sérigraphies de Vance, Jacobs et Chaland et Benoît. ...Vraiment dommage que des inédits dorment dans les archives de vieux journaux...
(...) Récemment, en re-feuilletant des "Journal de Mickey" des années 80, je suis tombé sur cette peinture illustrant l'article de Didier Roland pour le match Argentine France de 1978. ...Etonnant, non ?
Pas vraiment lorsque l'on sait que Mr Bressy a beaucoup travaillé pour la presse et pour Mickey en particulier dans ces années là.
... Ah, sacré Platini, và !
A lire : les pages qui lui sont consacrées sur Pressibus.
Et à propos de son album Fu Manchu : sur le site Damned productions.
Big Jim a encore frappé !
mardi 9 décembre 2008
La revue internationale de Bande dessinée Phénix archivée
C'est fait depuis hier au soir :
La rubrique "Bonus" du site BernieWrightsoninfrench s'enrichit d'une nouvelle page bibliophile consacrée à cette revue de collectionneur : j'ai nommé Phénix, (1966-1977.)
Couvertures, descriptifs... anecdotes ? Cela se développera au fur et à mesure des trouvailles et des éventuelles participations.
Une page Wikipédia a été aménagée au passage, en parallèle.
Bonne dégustation !
La rubrique "Bonus" du site BernieWrightsoninfrench s'enrichit d'une nouvelle page bibliophile consacrée à cette revue de collectionneur : j'ai nommé Phénix, (1966-1977.)
Couvertures, descriptifs... anecdotes ? Cela se développera au fur et à mesure des trouvailles et des éventuelles participations.
Une page Wikipédia a été aménagée au passage, en parallèle.
Bonne dégustation !
lundi 1 décembre 2008
Li-An : le blog
On n'en finit pas de dénicher des trésors.
Depuis quelques mois déjà, j'étais tombé par hasard sur ce blog dédié à la Bande dessinée, la SF ..etc., sans me rendre compte de qui l'animait.
... Je croyais bêtement que Li-An était une demoiselle, érudite (sans doute mon passage précédent chez une blogueuse branchée...) et quelle surprise d'apprendre en revenant dessus récemment, (il y a des fois, c'est plus fort que tout, chaque recherche "pointue" mène vers la même adresse !) qu'il s'agit de Li-An, le dessinateur (masculin) de la série Delcourt : "Le cycle de Tshaï". (entre autre).
Aaargl ! on a beau être féru, on ne connait pas tout, et j'avoue que ce nom m'était jusque là inconnu.
Maintenant que je vois les couvertures des bouquins, je me dis "Maiiis ouuuui... bien sûuuur '".
Bref, ce blog est un vrai trésor, rempli de richesses d'idées de lectures, d'archives, de documents sympas, de liens et de commentaires très intéressants de chroniqueurs et blogueurs avisés.
Une note s'imposait !
Depuis quelques mois déjà, j'étais tombé par hasard sur ce blog dédié à la Bande dessinée, la SF ..etc., sans me rendre compte de qui l'animait.
... Je croyais bêtement que Li-An était une demoiselle, érudite (sans doute mon passage précédent chez une blogueuse branchée...) et quelle surprise d'apprendre en revenant dessus récemment, (il y a des fois, c'est plus fort que tout, chaque recherche "pointue" mène vers la même adresse !) qu'il s'agit de Li-An, le dessinateur (masculin) de la série Delcourt : "Le cycle de Tshaï". (entre autre).
Aaargl ! on a beau être féru, on ne connait pas tout, et j'avoue que ce nom m'était jusque là inconnu.
Maintenant que je vois les couvertures des bouquins, je me dis "Maiiis ouuuui... bien sûuuur '".
Bref, ce blog est un vrai trésor, rempli de richesses d'idées de lectures, d'archives, de documents sympas, de liens et de commentaires très intéressants de chroniqueurs et blogueurs avisés.
Une note s'imposait !
Hérode, Jean Baptiste et Loisel
Ce qui est bien lorsque l'on conserve tout et entre autre des anciennes revues de bande dessinée, c'est que l'on remet régulièrement la main sur des petits bijoux.
Par exemple ce récit court signé Régis Loisel, paru en couverture et page 2-3 du numéro 11 de Décembre 1981 de Jonas, revue publié par la Vie catholique. (Et oui.)
Loisel n'était pas encore connu du grand public pour ce qui deviendra son premier best- seller : "La quête de l'oiseau du temps" (première édition en album chez Dargaud en Janvier 1983), mais comme le rappelle Bdgest', une prépublication avait déjà eu lieu (en n/b) dans la revue "Imagine" en 1978.
Bref, ce récit prend part à côté d'une autre petite série régulière (quelques cases) publiée dans la revue : "Les Jonas Folies", où l'on suit chaque mois les facéties de Jonas, mignon ados blond un peu scout sur les bords.
Mais voilà ce qu'il advint à Jean-Baptiste, prédicateur mal aimé, et petit-cousin de Jésus de Nazareth.
Par exemple ce récit court signé Régis Loisel, paru en couverture et page 2-3 du numéro 11 de Décembre 1981 de Jonas, revue publié par la Vie catholique. (Et oui.)
Loisel n'était pas encore connu du grand public pour ce qui deviendra son premier best- seller : "La quête de l'oiseau du temps" (première édition en album chez Dargaud en Janvier 1983), mais comme le rappelle Bdgest', une prépublication avait déjà eu lieu (en n/b) dans la revue "Imagine" en 1978.
Bref, ce récit prend part à côté d'une autre petite série régulière (quelques cases) publiée dans la revue : "Les Jonas Folies", où l'on suit chaque mois les facéties de Jonas, mignon ados blond un peu scout sur les bords.
Mais voilà ce qu'il advint à Jean-Baptiste, prédicateur mal aimé, et petit-cousin de Jésus de Nazareth.
samedi 15 novembre 2008
Les chiens d'Hector : always on the run !
...Ce projet est né lors de l'été 2007, d'un rêve, comme souvent.
Une idée saugrenue, qui a donné lieu à une planche et demi. (Ci-dessus : la première, avec ses défauts graphiques, et non achevée, l 'histoire complète scénarisée ensuite n'ayant à ce jour pas été finie.)
La création de deux personnages, deux copains déguisés en chien au départ. Le même chien que la peluche de ma fille ainée de dix ans.
Une idée saugrenue, qui a donné lieu à une planche et demi. (Ci-dessus : la première, avec ses défauts graphiques, et non achevée, l 'histoire complète scénarisée ensuite n'ayant à ce jour pas été finie.)
La création de deux personnages, deux copains déguisés en chien au départ. Le même chien que la peluche de ma fille ainée de dix ans.
L'idée était de poursuivre mon projet "De la pensée
dans le désert", (cf. Onabok), à savoir metrre en scène des personnages graphiques relativement faciles à dessiner, dans des décors minimalistes, voir abstraits, le tout afin de faire passer des pensées. (Philosophiques, si tant est que j'en ai, ou plus "quotidiennes"... ça c'est un peu plus simple.)
Puis une copine est partie, au travail cet automne..
Puis j'ai décidé, pour l'anniversaire de mes deux filles respectives de leur offrir une planche originale aussi, à chacune, réalisée en quelques heures.
Voilà le résultat.
En bonus : un fond non-sensique, avec de l'humour second degré, voir sarcastique.
Suite à la fin du fanzine Onabok, et après cet essai en vacances, j'en était resté là.
Puis une copine est partie, au travail cet automne..
J'ai pensé lui offrir une histoire originale mettant en scène son départ, avec dans le rôle principal : les chiens. (Plus hommes pour le coup, mais vraiment chiens. Enfin... on verra).
Puis j'ai décidé, pour l'anniversaire de mes deux filles respectives de leur offrir une planche originale aussi, à chacune, réalisée en quelques heures.
Voilà le résultat.
C'est un projet auquel je tiens beaucoup, et avec lequel je prends beaucoup de plaisir. C'est une de mes conception de la bande dessinée, qui doit un peu (beaucoup) à des gens comme Forest ou Cabanes, dans l'aspect dérision, Winsor Mc Cay et son Little Nemo (le principe de la chute, toujours la même), et aux strips humoristiques américains, de façon plus générale.
C'est ici, et ..."always on the run".
Merci de me dire ce que vous en pensez.
dimanche 26 octobre 2008
Une case en moins.
Je ne sais pas si j'ai une case en moins, mais ce qui est sûr, c'est que j'ai un blog en plus !
J'ai effectivement l'honneur et le grand plaisir de vous annoncer ce soir la naissance d'un nouveau blog dédié à la Bande dessinée : Une case en moins.
Ce blog aura pour vocation, exclusivement à partir d'une case d'album de bande dessinée, quelle qu'elle soit, d'analyser, de polémiquer ou tout simplement de raconter une anecdote à son sujet.
C'est un souhait qui était en moi depuis déjà longtemps, et qui remonte à ma découverte des Cahiers de la Bande dessinée en 1988, avec leur fameuse rubrique "Case mémorable". Cette idée a néanmoins été réveillée la semaine dernière, lors du colloque roannais "BD et solidarité", où j'ai eu l'occasion de discuter avec quelques autres amateurs, parmis lesquels Jean-Mathieu Meon (Metz), Eric Carton (Nice), et Pascal Robert, dont l'analyse "Palo Alto chez Asterix : l'enseignement de la théorie assisté par la BD" a fait mouche.
Première case donc naturellement tirée d'Asterix en corse.
Mais d'autres, bien moins classiques suivront... n'en doutons pas.
..Et bienvenue à tout ceux et celles qui voudront participer.
(Me contacter pour les détails techniques.)
J'ai effectivement l'honneur et le grand plaisir de vous annoncer ce soir la naissance d'un nouveau blog dédié à la Bande dessinée : Une case en moins.
Ce blog aura pour vocation, exclusivement à partir d'une case d'album de bande dessinée, quelle qu'elle soit, d'analyser, de polémiquer ou tout simplement de raconter une anecdote à son sujet.
C'est un souhait qui était en moi depuis déjà longtemps, et qui remonte à ma découverte des Cahiers de la Bande dessinée en 1988, avec leur fameuse rubrique "Case mémorable". Cette idée a néanmoins été réveillée la semaine dernière, lors du colloque roannais "BD et solidarité", où j'ai eu l'occasion de discuter avec quelques autres amateurs, parmis lesquels Jean-Mathieu Meon (Metz), Eric Carton (Nice), et Pascal Robert, dont l'analyse "Palo Alto chez Asterix : l'enseignement de la théorie assisté par la BD" a fait mouche.
Première case donc naturellement tirée d'Asterix en corse.
Mais d'autres, bien moins classiques suivront... n'en doutons pas.
..Et bienvenue à tout ceux et celles qui voudront participer.
(Me contacter pour les détails techniques.)
samedi 18 octobre 2008
Une bande dessinée... pour apprendre.
vendredi 3 octobre 2008
Les chroniques de Conan : 1975
Revenons sur Conan de Cimmérie, et ses anciennes aventures rééditées actuellement chez Panini.
On se reportera à l'article précédent vantant cette sorte de début d'intégrale des premiers épisodes, période 70's, avec les chroniques 1970-1974.
Ce qui nous intéresse ici, c'est donc ce deuxième bouquin, de 264 pages, dont 6 en couleur (reproduction des couvertures US) et trois pages d'introduction d'époque de Lin Carter, illustrées par trois (pas un de plus) petits dessins n/b de Corben, (!) tirés de Savage Sword of Conan #4.
Alors ? intéressant ce deuxième volume, ou pas ?
Et bien... pris dans l'aventure, le mystère et les batailles du Cimmérien du premier tome, je me suis jeté sur celui-ci avec délectation... jusqu'à la page 208 et le 6eme épisode, qui, avouons-le, a commencé à m'intriguer.
Ce "flacon d'éternité", dessiné par Tim Conrad n'est pas la plus belle histoire qu'il m'ait été donnée de lire, et même si le scénario tient la route (à peu près), le dessin... argl, commence à battre de l'aile.
Un peu trop amateur à mon goût. (quoi qu'il y ait de bons amateurs).
Ensuite : "Chant de mort de Conan le Cimmérien", poème de Lin Cater illustré par Jess Jodloman, n'est pas ce qu'on peut appeler un incontournable.
Là, c'est l'inverse : le dessin est plutôt bon. Mais le fait qu'il illustre simplement un texte un tantinet trop long et un peu répétitif devient vite saoûlant. Dommage...
"Corsaires contre Stygiens", de Roy Thomas et Gil Kane (plus Young Montano) arrive comme un cheveu sur la soupe dans le recueil... et il nous faut un gros résumé de l'éditeur pour reprendre le fil...
Mais quand en plein rebondissement, l'épisode est coupé brusquement et qu'on lit en bas de page, alors qu'il reste 15 pages d'une autre histoire avant de fermer le livre :
"A suivre dans Le Serpent sacré" .. ??? Je ne comprends pas trop la stratégie.
Va t-on devoir attendre le prochain volume de Panini pour lire cette suite ???
Pourquoi alors nous imposer épisode supplémentaire "La malédiction de la déesse chatte" (Roy Thomas/Pablo Marcos), plutôt sympa au demeurant, alors qu'on aurait préféré bien sûr une suite au "Corsaires contre Stygiens" ???
C'est à n'y rien comprendre.
J'ai repris mes deux volumes, les ai retourné, ai relu les introductions...
Incompréhension totale.
Moi qui me félicitais de ces rééditions, en admettant qu'elle pouvaient remettre un peu d'ordre et de logique dans tout ces épisodes éparses de Conan... je crois que c'est finalement mal partit.
A suivre... ?
A gauche : la magnificience du trait d'Alfredo Alcala, dans le superbe et classique : "Les ombres de la lune".
Rappel du reste du sommaire, très intéressant :
(Ce qui fait "seulement" 50 pages pas terribles sur un total de 264. Bon rapport quand même, non ?)
- Chronique du sabre (Lin Carter Ssoc #3); Les ombres sous la lune (Roy Thomas/Buscema, Alfredo Alcala : Ssoc #4); Naîtra une sorcière (Roy Thomas/Buscema : Ssoc #5), Le dormeur des sables (Roy Thomas/Sonny Trinidad : Ssoc #6), Le peuple de l'ombre (Roy Thomas/Alex Nino : Ssoc #6), La citadelle au ceur du temps (Roy Thomas/Buscema, Alcala : Ssoc #7)
A droite : L' épisode d'Alex Nino, hallucinant, et graphiquement majestueux.
On se reportera à l'article précédent vantant cette sorte de début d'intégrale des premiers épisodes, période 70's, avec les chroniques 1970-1974.
Ce qui nous intéresse ici, c'est donc ce deuxième bouquin, de 264 pages, dont 6 en couleur (reproduction des couvertures US) et trois pages d'introduction d'époque de Lin Carter, illustrées par trois (pas un de plus) petits dessins n/b de Corben, (!) tirés de Savage Sword of Conan #4.
Alors ? intéressant ce deuxième volume, ou pas ?
Et bien... pris dans l'aventure, le mystère et les batailles du Cimmérien du premier tome, je me suis jeté sur celui-ci avec délectation... jusqu'à la page 208 et le 6eme épisode, qui, avouons-le, a commencé à m'intriguer.
Ce "flacon d'éternité", dessiné par Tim Conrad n'est pas la plus belle histoire qu'il m'ait été donnée de lire, et même si le scénario tient la route (à peu près), le dessin... argl, commence à battre de l'aile.
Un peu trop amateur à mon goût. (quoi qu'il y ait de bons amateurs).
Ensuite : "Chant de mort de Conan le Cimmérien", poème de Lin Cater illustré par Jess Jodloman, n'est pas ce qu'on peut appeler un incontournable.
Là, c'est l'inverse : le dessin est plutôt bon. Mais le fait qu'il illustre simplement un texte un tantinet trop long et un peu répétitif devient vite saoûlant. Dommage...
"Corsaires contre Stygiens", de Roy Thomas et Gil Kane (plus Young Montano) arrive comme un cheveu sur la soupe dans le recueil... et il nous faut un gros résumé de l'éditeur pour reprendre le fil...
Mais quand en plein rebondissement, l'épisode est coupé brusquement et qu'on lit en bas de page, alors qu'il reste 15 pages d'une autre histoire avant de fermer le livre :
"A suivre dans Le Serpent sacré" .. ??? Je ne comprends pas trop la stratégie.
Va t-on devoir attendre le prochain volume de Panini pour lire cette suite ???
Pourquoi alors nous imposer épisode supplémentaire "La malédiction de la déesse chatte" (Roy Thomas/Pablo Marcos), plutôt sympa au demeurant, alors qu'on aurait préféré bien sûr une suite au "Corsaires contre Stygiens" ???
C'est à n'y rien comprendre.
J'ai repris mes deux volumes, les ai retourné, ai relu les introductions...
Incompréhension totale.
Moi qui me félicitais de ces rééditions, en admettant qu'elle pouvaient remettre un peu d'ordre et de logique dans tout ces épisodes éparses de Conan... je crois que c'est finalement mal partit.
A suivre... ?
A gauche : la magnificience du trait d'Alfredo Alcala, dans le superbe et classique : "Les ombres de la lune".
Rappel du reste du sommaire, très intéressant :
(Ce qui fait "seulement" 50 pages pas terribles sur un total de 264. Bon rapport quand même, non ?)
- Chronique du sabre (Lin Carter Ssoc #3); Les ombres sous la lune (Roy Thomas/Buscema, Alfredo Alcala : Ssoc #4); Naîtra une sorcière (Roy Thomas/Buscema : Ssoc #5), Le dormeur des sables (Roy Thomas/Sonny Trinidad : Ssoc #6), Le peuple de l'ombre (Roy Thomas/Alex Nino : Ssoc #6), La citadelle au ceur du temps (Roy Thomas/Buscema, Alcala : Ssoc #7)
A droite : L' épisode d'Alex Nino, hallucinant, et graphiquement majestueux.
vendredi 26 septembre 2008
Matsumoto : number one !!
Il y a déjà quelques temps que je souhaitais rendre hommage à ce mangaka (auteur de manga) suite à la lecture de sa très originale série : "Number five", j'ai nommé : Taiyou Matsumoto.
J'ai récemment pu visionner le film tiré de l'un de ses précédents manga: "Amer beton". Celui-ci, datant de 1994 et traduit en France dés 1996 n'a pas connu le succès escompté, mais a néanmoins acquis dés le départ un statut d'oeuvre culte.
C'est pourquoi la sortie en 2007* de ce film permettait de rattraper cette sorte d'injustice.
(* DVD chez GCTHV, sortit en Février 2008.)
Depuis, (en Avril) Tonkam a proposé une intégrale cartonnée des trois volumes, avec un renfort de communication salvateur.
Qu'en dire ?
Ce film est effectivement un chef d'oeuvre et constitue pour moi un des meilleurs films et un des plus beau film d'animation que j'ai eu l'occasion de voir. (...)
Comme un dossier complet très bien fait est déjà en ligne sur l'excellent site Akata, je vous y renvoie, par facilité, et par humilité, n'ayant pas beaucoup de choses à ajouter.
J'ai récemment pu visionner le film tiré de l'un de ses précédents manga: "Amer beton". Celui-ci, datant de 1994 et traduit en France dés 1996 n'a pas connu le succès escompté, mais a néanmoins acquis dés le départ un statut d'oeuvre culte.
C'est pourquoi la sortie en 2007* de ce film permettait de rattraper cette sorte d'injustice.
(* DVD chez GCTHV, sortit en Février 2008.)
Depuis, (en Avril) Tonkam a proposé une intégrale cartonnée des trois volumes, avec un renfort de communication salvateur.
Qu'en dire ?
Ce film est effectivement un chef d'oeuvre et constitue pour moi un des meilleurs films et un des plus beau film d'animation que j'ai eu l'occasion de voir. (...)
Comme un dossier complet très bien fait est déjà en ligne sur l'excellent site Akata, je vous y renvoie, par facilité, et par humilité, n'ayant pas beaucoup de choses à ajouter.
Mis à part qu'on a rarement vu traité avec autant de réalisme et d'à propos la psychologie (la psychose ?) enfantine dans un film d'animation.
Constater comment un jeune enfant orphelin peut-être à la fois innocent et réactif face aux drames ne laisse pas indifférent. Le film rappellera d'ailleurs à ce sujet certaines scène d'un autre manga évoquant l'enfance volée : le GEN d'Hiroshima de Nakasawa. (cf. précédente note.)
Lire le dossier d'Amer beton sur le site Ataka ici.
Quand à Number five, je me fends d'une chronique dés que possible.
Lire le dossier d'Amer beton sur le site Ataka ici.
Quand à Number five, je me fends d'une chronique dés que possible.
lundi 22 septembre 2008
Let's get lost : there will never be another you !
Vendredi 19 Sept 2008,
20 h :
Soirée d'ouverture de l'anniversaire des 20 ans de Canal Jazz à l' Espace Renoir, Roanne.
"Let's get lost" de Bruce Weber, et concert hommage à Chet Baker.
20 ans de Canal Jazz à Roanne , qu'est-ce que c'est ?
La réponse, l'assistance nombreuse, réunie dans la salle Pierre Etaix de l'Espace Renoir, cinéma d'art et d'essai, a pu l'entendre évoquée par Blandine Sallansonnet, présidente de cette association montée par des passionnés en 1988.
D'abord basée sur le port, comme d'autres associations musicales locales à l'époque, à la Maison de la péniche, quai cdt Lherminier, elle a programmé de nombreux concerts et boeufs sur cette même péniche Prospérité.
Une époque "bénie", avant que cette même péniche, prenant l'eau, soit rapatriée vers Châlon sur Saône, presque dix ans plus tard, pour ne plus jamais revenir.
(Mais les concerts avaient cessés depuis déjà quelques temps sur le bateau.)
...Autre époque, qui aura vue entre temps Canal Jazz être reconnue, et rejoindre la "cour des grands" (dixit Blandine Sallansonnet), en intégrant la programmation officielle du TMR (Théatre municipal roannais).
Avec Papillon bleu, association d'amis crée seulement un an après elle, et programmant un peu plus de folk, de blues ou de "World", elles ont été toutes les deux jusqu'à l'orée des années deux mille les deux seules associations du roannais à vraiment proposer des concerts de musiques amplifiées de qualité , permettant de découvrir des grands noms pour pas très cher. (Ce qui, reconnaissons-le, n'est pas rien).
Blandine Sallansonnet remercie aussi ce soir Thierry Boré, directeur du TMR de 1981 à 1996. Ce n'est pas anodin, lui qui aura été un des meilleurs défenseur de ces musiques, et de la liberté d'expression en général à Roanne.
Citation de noms donc : Michel Barret, à l'origine de l'association, et trompettiste qui jouera ce soir, Alain Lachman, ...François Forestier, (qui lui ne joue pas ce soir, mais qu'on peut entendre souvent...),...et bien d'autres.
Remerciements aussi à l'Espace Renoir qui grâce à ce partenariat voit une salle quasi comble pour la projection d'un film qui sans cela n'aurait peut-être pas attiré autant de monde (où étaient les moins de 30 ans ce soir ?)
Enfin, projection de ce superbe film crépusculaire "Let's get lost", (tourné en 1987 et re-proposé en copie neuve) sur le retour mais surtout la déchéance d'un jazzmen, qui a eu la chance (lui) d'être filmé de son vivant (mais était-il encore bien vivant ?).
Chet Baker, magnifique non seulement dans les images d'archives, mais aussi en vieux loup solitaire, défoncé par l'héroïne et les mauvais mélanges, entouré par une bande de jeunes cats en soif de paternité (ou d'amour ?), et qui tâche , le plus dignement possible de répondre aux attentes de ses fans, qui n'espéraient pas le revoir un jour.
"Let's get lost", ou comment se perdre définitivement, subrepticement, à petit feu, après avoir succombé une dernière fois aux joies d'une virée en (belle) voiture, d'un tour d'autos tamponneuses, d'une balade sur la plage, ou d'une montée des marches à Cannes.
"Let's get lost", où le sentiment de n'être qu'un fantôme...
Blutch l'a superbement dessiné dans le Jazzman n°89 de Mars 2003*, quinze ans après sa disparition, et Michel Barret ce soir entre deux morceaux interprétés (plutôt bien) avec ses deux acolytes pianiste et Contrebassiste, nous le confirme, ayant assisté à son dernier concert parisien en 1988.
On regrettera seulement, à propos du concert présenté ce soir, que l'Espace Renoir ne soit définitivement pas adapté à la musique, et en tous cas pas à ce jazz, qui aurait mérité une acoustique moins mate, moins confinée, et donc plus d'écho... ne serait-ce que pour faire ressortir les sonorités nostalgiques et crépusculaires de la trompette de Chet.
On restera quand même sur une note positive... et on se remémorera la fin du film de Weber, plutôt joyeuse et très kitsch, où dans un extrait de film musical italien des années 60, ("Urlatori alla sbarra" ?, où joue Chet) des amoureux s'embrassent sous les arbres d'une petite clairière, en été, en s'échangeant des mots doux dans la langue de Dante.
"The touch of your lips"..
Bon anniversaire Canal Jazz. !
Le programme des 20 ans sur le site officiel.
Let's get lost : le site
*Frederik Peeters signait la couv de ce n° rendant hommage à Chet : Voir le site de Peeters.
Bonus : la chronique d'un grand concert Canal Jazz : David Linx en Janvier 2006 !
20 h :
Soirée d'ouverture de l'anniversaire des 20 ans de Canal Jazz à l' Espace Renoir, Roanne.
"Let's get lost" de Bruce Weber, et concert hommage à Chet Baker.
20 ans de Canal Jazz à Roanne , qu'est-ce que c'est ?
La réponse, l'assistance nombreuse, réunie dans la salle Pierre Etaix de l'Espace Renoir, cinéma d'art et d'essai, a pu l'entendre évoquée par Blandine Sallansonnet, présidente de cette association montée par des passionnés en 1988.
D'abord basée sur le port, comme d'autres associations musicales locales à l'époque, à la Maison de la péniche, quai cdt Lherminier, elle a programmé de nombreux concerts et boeufs sur cette même péniche Prospérité.
Une époque "bénie", avant que cette même péniche, prenant l'eau, soit rapatriée vers Châlon sur Saône, presque dix ans plus tard, pour ne plus jamais revenir.
(Mais les concerts avaient cessés depuis déjà quelques temps sur le bateau.)
...Autre époque, qui aura vue entre temps Canal Jazz être reconnue, et rejoindre la "cour des grands" (dixit Blandine Sallansonnet), en intégrant la programmation officielle du TMR (Théatre municipal roannais).
Avec Papillon bleu, association d'amis crée seulement un an après elle, et programmant un peu plus de folk, de blues ou de "World", elles ont été toutes les deux jusqu'à l'orée des années deux mille les deux seules associations du roannais à vraiment proposer des concerts de musiques amplifiées de qualité , permettant de découvrir des grands noms pour pas très cher. (Ce qui, reconnaissons-le, n'est pas rien).
Blandine Sallansonnet remercie aussi ce soir Thierry Boré, directeur du TMR de 1981 à 1996. Ce n'est pas anodin, lui qui aura été un des meilleurs défenseur de ces musiques, et de la liberté d'expression en général à Roanne.
Citation de noms donc : Michel Barret, à l'origine de l'association, et trompettiste qui jouera ce soir, Alain Lachman, ...François Forestier, (qui lui ne joue pas ce soir, mais qu'on peut entendre souvent...),...et bien d'autres.
Remerciements aussi à l'Espace Renoir qui grâce à ce partenariat voit une salle quasi comble pour la projection d'un film qui sans cela n'aurait peut-être pas attiré autant de monde (où étaient les moins de 30 ans ce soir ?)
Enfin, projection de ce superbe film crépusculaire "Let's get lost", (tourné en 1987 et re-proposé en copie neuve) sur le retour mais surtout la déchéance d'un jazzmen, qui a eu la chance (lui) d'être filmé de son vivant (mais était-il encore bien vivant ?).
Chet Baker, magnifique non seulement dans les images d'archives, mais aussi en vieux loup solitaire, défoncé par l'héroïne et les mauvais mélanges, entouré par une bande de jeunes cats en soif de paternité (ou d'amour ?), et qui tâche , le plus dignement possible de répondre aux attentes de ses fans, qui n'espéraient pas le revoir un jour.
"Let's get lost", ou comment se perdre définitivement, subrepticement, à petit feu, après avoir succombé une dernière fois aux joies d'une virée en (belle) voiture, d'un tour d'autos tamponneuses, d'une balade sur la plage, ou d'une montée des marches à Cannes.
"Let's get lost", où le sentiment de n'être qu'un fantôme...
Blutch l'a superbement dessiné dans le Jazzman n°89 de Mars 2003*, quinze ans après sa disparition, et Michel Barret ce soir entre deux morceaux interprétés (plutôt bien) avec ses deux acolytes pianiste et Contrebassiste, nous le confirme, ayant assisté à son dernier concert parisien en 1988.
On regrettera seulement, à propos du concert présenté ce soir, que l'Espace Renoir ne soit définitivement pas adapté à la musique, et en tous cas pas à ce jazz, qui aurait mérité une acoustique moins mate, moins confinée, et donc plus d'écho... ne serait-ce que pour faire ressortir les sonorités nostalgiques et crépusculaires de la trompette de Chet.
On restera quand même sur une note positive... et on se remémorera la fin du film de Weber, plutôt joyeuse et très kitsch, où dans un extrait de film musical italien des années 60, ("Urlatori alla sbarra" ?, où joue Chet) des amoureux s'embrassent sous les arbres d'une petite clairière, en été, en s'échangeant des mots doux dans la langue de Dante.
"The touch of your lips"..
Bon anniversaire Canal Jazz. !
Le programme des 20 ans sur le site officiel.
Let's get lost : le site
*Frederik Peeters signait la couv de ce n° rendant hommage à Chet : Voir le site de Peeters.
Bonus : la chronique d'un grand concert Canal Jazz : David Linx en Janvier 2006 !
mercredi 17 septembre 2008
Cabu prof des écoles ?
A l'heure de la rentrée, des questions lourdes posées par la réforme Darcos, et de la sortie du film "Entre les murs" (sur le Collège en Zep) peut-être que "Le guide des enseignants : gérer sa classe de primaire" (ed. du temps) illustré par Cabu répondra t-il d'une manière sympa à certaines interrogations ?
C'est tout le mal qu'on souhaite en tous cas à nos chers professeurs.
BD de grand-père, ou dernier cri ?
A propos de "Journal de guerre 14-18" de Tardi chez Casterman.
Revient-on aux journaux grand format de l'avant guerre où l'on publiait le Dimanche des pleine pages couleur de bandes dessinées ? (A l'époque le mot "Bandes" voulait encore dire quelque chose d'ailleurs).
Revient-on aux journaux grand format de l'avant guerre où l'on publiait le Dimanche des pleine pages couleur de bandes dessinées ? (A l'époque le mot "Bandes" voulait encore dire quelque chose d'ailleurs).
Mais n'est-ce pas finalement le format le plus adapté à ce genre de dessin ?
Après la mode du Roman graphique, va t'on avoir la mode du journal en couleur ?
L'édition sous ce format annonce t'elle une renaissance des journaux de prépublications à l'ancienne ?
Casterman nous a en tous cas déjà régalé avec les prépublications de deux récits de Tardi sous ce format, mais en noir et blanc : "L'étrangleur" et le dernier Adèle Blanc Sec.
La question est : l'idée est-elle déposée ? et va t'on assister à une bataille des journaux ?
Plus d'info sur le journal via : ActuaBD
Après la mode du Roman graphique, va t'on avoir la mode du journal en couleur ?
L'édition sous ce format annonce t'elle une renaissance des journaux de prépublications à l'ancienne ?
Casterman nous a en tous cas déjà régalé avec les prépublications de deux récits de Tardi sous ce format, mais en noir et blanc : "L'étrangleur" et le dernier Adèle Blanc Sec.
La question est : l'idée est-elle déposée ? et va t'on assister à une bataille des journaux ?
Plus d'info sur le journal via : ActuaBD
et : La libre Belgique
Ps : Il y aura trois journaux de prépublication grand format, avant l'édition en album.
On commence en couleur, ...pour finir en noir et blanc et gris. (Bein oui.)
lundi 8 septembre 2008
samedi 6 septembre 2008
Flash Gordon : l'horreur de l'édition !
Special Mandrake n°99, Avril 1973
(Edition des remparts, Lyon)
Un "bel" exemple de ce que certaines revues ont pu causer comme mal à des bandes dessinées à l'origine fantastiques (cf. Flash Gordon d'Alex Raymond), avec des publications désastreuses.
Papier pourri, dessins malheureux, mises en page effrayantes, recadrages (sûrement). Pas de scénariste ni de dessinateur de crédités...
C'est pour rendre justice et hommage à Alex Raymond et son personnage que j'ai justement consacré ces pages web : Flash Gordon, en français dans le texte.
Diabolik, gd album n°1, Avril 1977
Spéciale dédicace à Philippe Fauche, et Franck Zwiller, (alias Lord Diabolik.)
Les Diabolik, c'est sur : Diabolik est I
Les Diabolik, c'est sur : Diabolik est I
Mille et une nuit, ed. de l'Atlantique, 1956
mardi 2 septembre 2008
Mr Door Tree have good paintings !
Connaissez-vous l'expression "Incroyable"?
Ou bien : "Dément" ?
Ou encore "Hallucinant" ?
Si vous aimez les illustrations XIXeme, les anciens livres, les vieux comic books, les couvertures de récits de SF des années 50... et que sais-je encore.
Alors, ne perdez pas une minute, rendez-vous sur le site "Golden age comicbooks" de Mr Door Tree, et... dite-le :
"Hallucinant" !!
(Le Web me rend fou.. et j'aime ça !)
(Le Web me rend fou.. et j'aime ça !)
ci dessus à gauche : Mr Door Tree.
copyright images : Goldenagecomicbooks/Arthur Rackam/Allen St John
copyright images : Goldenagecomicbooks/Arthur Rackam/Allen St John
samedi 30 août 2008
Richard Corben : des nouvelles !
Pour prolonger la remise à neuf de la note de 2007 consacrée à ce grand auteur de comics SF underground (cf. note précédente), et se consoler de la disparition de la toile du site français qui lui était consacré*, aperçu des dernières parutions intéressantes de l'auteur :
Tout d'abord, Swamp Thing, avec les deux séries parues en 2004 (#7 et 8) et 2005 (#20), mais aucunes traduites à ce jour.
Des recueils Paperback ont été publiés (cf celui du 30 Mai 2006 ci à droite au dessus, avec Enrique Breccia au dessin en "régulier", mais contenant le #20 dessiné par Corben). Mais ...ils ne sont pas faciles à se procurer. (cf. Graphicnoveldatabase.)
Ensuite, plus récent : Hellboy, "Makoma" (Darkhorse), 22 pages incluses dans le volume 8 "Trolls et sorcières" des recueils Delcourt.
Ghost rider #8 (Panini france, 44 pages)
(Episode # 6 US. See : http://marvel.com/news/story/750/horror_legend_richard_corben_takes_on_ghost_rider)
Et enfin, pour ce qu'il y a à suivre en ce moment (2008) :
Un nouvel Hellboy "Crooked man" (Darkhorse, 2 n° à ce jour/3)
et une participation à un nouveau Conan the cimmerian. (Darkhorse, 2 n° à ce jour), avec couvertures de Frank Cho !
...Pour se tenir au courant des séries de l'auteur :
La checklist de son site,
Les news quotidiennes du Weeklycomicbooks review,
et les news du blog Comicsalliance
(*) Il semblerait que ce superbe site de fan ait eu des soucis de droits ?
En tous cas, plus moyen d'y accéder. Dans le même temps comme par hasard, un site officiel de Corben apparaît. (Etrange, non ?)
Tout d'abord, Swamp Thing, avec les deux séries parues en 2004 (#7 et 8) et 2005 (#20), mais aucunes traduites à ce jour.
Des recueils Paperback ont été publiés (cf celui du 30 Mai 2006 ci à droite au dessus, avec Enrique Breccia au dessin en "régulier", mais contenant le #20 dessiné par Corben). Mais ...ils ne sont pas faciles à se procurer. (cf. Graphicnoveldatabase.)
Ensuite, plus récent : Hellboy, "Makoma" (Darkhorse), 22 pages incluses dans le volume 8 "Trolls et sorcières" des recueils Delcourt.
Ghost rider #8 (Panini france, 44 pages)
(Episode # 6 US. See : http://marvel.com/news/story/750/horror_legend_richard_corben_takes_on_ghost_rider)
Et enfin, pour ce qu'il y a à suivre en ce moment (2008) :
Un nouvel Hellboy "Crooked man" (Darkhorse, 2 n° à ce jour/3)
et une participation à un nouveau Conan the cimmerian. (Darkhorse, 2 n° à ce jour), avec couvertures de Frank Cho !
...Pour se tenir au courant des séries de l'auteur :
La checklist de son site,
Les news quotidiennes du Weeklycomicbooks review,
et les news du blog Comicsalliance
(*) Il semblerait que ce superbe site de fan ait eu des soucis de droits ?
En tous cas, plus moyen d'y accéder. Dans le même temps comme par hasard, un site officiel de Corben apparaît. (Etrange, non ?)
Inscription à :
Articles (Atom)
Sites hystériques (liens parallèles ou amis)
- 1 oeil sur le galet
- 1caseenmoins : rien que de la BD (nombreux liens)
- Action time, where vinyls are alive !
- Bernie Wrightson in french !
- Bulles en côte roannaise
- Celle de vison (Petelus fourre tout)
- Corben, enfant du feu
- Graphic lab
- Kronix
- Le blog d'hector (pemier du nom.. plein de liens.)
- Onabok, le site officiel
- Pastel Rob
- RenaisonBD
- Rockaroanne : c'est clair, non ?
- Sarujin : Steve Vobmann
- Senzu blog